c64 par un très bon éléctronicien : bientot
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c64 par un très bon éléctronicien : bientot
électro-bidouilleur fera sous peu une série sur les C64
ça peut interesser du monde pour les réparations je suppose
sa chaine :
https://www.youtube.com/channel/UCvv3bL ... ycHG-t3dJw
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- Fabrice Montupet
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Re: c64 par un très bon éléctronicien : bientot
J'adore sa chaine, je la suis depuis un bon moment.
Et qu'il parle du C64 cela pouvait pas mieux tomber en ce qui me concerne, cherchant à en apprendre plus sur la bête depuis peu
Et qu'il parle du C64 cela pouvait pas mieux tomber en ce qui me concerne, cherchant à en apprendre plus sur la bête depuis peu
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Re: c64 par un très bon éléctronicien : bientot
Cela commence à devenir intéressant. Vivement une panne d'une carte mère ou d'un lecteur quand même! avec la remise en état pour que cela devienne vraiment captivant
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Re: c64 par un très bon éléctronicien : bientot
Oui, parce que là, franchement, je reste sur ma faim.
Pas sûr de son explication sur la RAM disponible sous Basic, inférieure à 64 Ko, parce que la ROM est recopiée dans la RAM.
Je ne connais que le PC qui fait du Shadow RAM.
A moins que j'ai mal compris.
La combinaison luma et chroma en composite est intéressante, je ne connaissais pas. J'ai le problème quand je branche mes C64 sur ma télévision, j'ai du noir et blanc, pas toujours envie de sortir un moniteur.
Bon il y a toujours l'accent
Généralement ces vidéos sont toujours en anglais, ça change agréablement.
Pas sûr de son explication sur la RAM disponible sous Basic, inférieure à 64 Ko, parce que la ROM est recopiée dans la RAM.
Je ne connais que le PC qui fait du Shadow RAM.
A moins que j'ai mal compris.
La combinaison luma et chroma en composite est intéressante, je ne connaissais pas. J'ai le problème quand je branche mes C64 sur ma télévision, j'ai du noir et blanc, pas toujours envie de sortir un moniteur.
Bon il y a toujours l'accent
Généralement ces vidéos sont toujours en anglais, ça change agréablement.
Patrick
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Re: c64 par un très bon éléctronicien : bientot
Je viens de regarder l'épisode le plus récent de la série.
Le sujet est la réparation d'un 1541.
Il emploie une technique de mesure de résistance entre VCC et GND des composants pour cibler l'origine de la panne. Très intéressant !
Je suis sympa, je ne dévoile pas le coupable
Le sujet est la réparation d'un 1541.
Il emploie une technique de mesure de résistance entre VCC et GND des composants pour cibler l'origine de la panne. Très intéressant !
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Patrick
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Re: c64 par un très bon éléctronicien : bientot
Je suis d'accord avec toi.Patricklaf a écrit : ↑01 août 2020 08:22 Pas sûr de son explication sur la RAM disponible sous Basic, inférieure à 64 Ko, parce que la ROM est recopiée dans la RAM.
Je ne connais que le PC qui fait du Shadow RAM.
Je doute fortement que la ROM soit copiée en RAM vu le prix de la RAM à l'époque.
Il y a simplement un map mémoire qui adresse soit la ROM soit la RAM.
la memory map est dispo ici: http://sta.c64.org/cbm64mem.html
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Re: c64 par un très bon éléctronicien : bientot
Oui ,c'est bien cela. Il n'y a pas, hors quelques pages mémoires concernant les tables de vecteurs (sur les 8 bits on appelle page le block formé des 256 bytes qui ont en commun la même partie haute d'adressage).
Ces pages sont volontairement recopiées de la ROM vers la RAM à chaque mise sous-tension (ou SOFT-RESET) afin de faciliter l'extension des fonctionnalités (ex. ajout de mot clef BASIC, de procédure d'E/S, d'IRQ pour des jeux, jeu de caractère internationaux, etc) sans modifier la ROM par la simple installation de code d'extension. Soit par l'utilisateur à partir de programme chargé, soit par l'insertion de cartouches sur le USER-PORT, soit par l'installation de chip sur les embases encore libres de la carte mère (les Commodore suivant le C64 ont multiplié ceux-ci, le Commodore C4+ en a deux, un C128 en a pas moins de quatre). Ces vecteurs correspondent aux principaux sous-programmes des ROM et permette de facilement modifier l'adresse de destination afin d'ajouter des instructions ou modifier à volonté le fonctionnement du système.
Cela ne fait que quelques block de 256 octets, ce n'est pas cela qui explique le bilan curieux de la mémoire disponible à l'allumage.
Toute l'architecture du C64 repose sur le fait qu'il dispose bien de 64 Ko de RAM, c'est à dire de la plage maximale que son micro-processeur peut adresser (le 6502/6510 est un microprocesseur 8bits avec un bus d'adressage de 16 bits).
Le problème est que pour fonctionner le C64 a besoin que son microprocesseur puisse aussi exécuter les codes en ROM et qu'il faut donc insérer les ROM disponibles. Il y en a trois en principe, sans compter les puces ou les cartouches supplémentaire qui elles aussi vont devoir s'insérer dans la plage adressable du 6502/6510.
Il y a donc une astuce, selon les valeurs prises par les bit #0 et #2 de l'octet #0001, le MMU (Memory Managment Unit) va donc leurrer le microprocesseur et insérant ou non dans certaines plages mémoire lesdites ROM (ou Chips ou Cartouches).
C'est simplement une bascule sur une partie des bits d'adressage, les modèles suivant comme le C4+ ou le C16 et surtout le C128 utiliseront à outrance de telles astuce avec des MMU plus rapides qui permettront d'insérer dans l'espace adressable plus de dispositifs, voir comme pour le C128 faire cohabiter dans le système plusieurs micro-processeurs et/ou plusieurs processeurs graphiques ou hardwares de toute sorte.
c'est donc cette gestion très particulière de l'espace adressable qui fait du C64 (et des machines suivantes) un système très différent dans le principe de fonctionnement des prédécesseurs que sont le VIC20 , les CBM et PET antérieurs qui ont un mode d'adressage fixe.
Sur le C64, il y a trois ROM principales, le KERNAL (éditeur plein écran qui gère aussi curseur, horloge temps réel, scrutation du clavier, chef d'orchestra des E/S avec les périphérique), la ROM BASIC et la ROM I/O qui gère le bus interne et les entrées-sorties ainsi que la synchronisation avec la puce VIC-II responsable de l'affichage mais aussi du rafraichissement de la RAM dynamique. C'est nouveau, il n'y a plus de RAM statique c'est ce qui a permis d'offrir un système avec autant de RAM pour un prix aussi serré.
Mais il a y aussi, et c'est important en terme de surface mémoire utilisée, toutes les ROM caractères qui permettent d'avoir un affiche lisible.
A la RAM disponible pour l'utilisateur, il faut aussi retirer l'espace nécessaire à la mémoire vive pour l'affichage (RAM affichage caractère ou bitmap) et surtout la RAM Couleur qui permet l'affichage couleur du C64 (c'est quand même un des points spécifiques important pour cet ordi au gout de console de jeu).
Mais le bilan n'est pas une simple addition/soustraction, le processeur graphique VIC-II ne peut allouer que 16Ko de RAM (ou ROM) contigüe, il y a donc au travers des 64 Ko de la zone adressable du système, que 4 bancs vidéo ce qui contraint fortement les zones contigüe pour les autres systèmes et surtout le BASIC (qui est pour un problème de licence une copie hâtivement adapté du PET de 1977) qui lui aussi ne sait qu'utiliser une zone mémoire d'un seul tenant. En fonction des contrainte, les bancs vidéo sont activé en différents endroit de la plage et les autres zones sont soti déplacée par voie logicielle, soit occulté par le MMU.
C'est surtout ce dernier points qui expliquent l'organisation un peut biscornue de l'agencement mémoire, un compromis entre une utilisation simple du BASIC non adapté à la situation, le bon positionnement des pages vidéo liée à l'adressage limité du VIC-II, les contraintes matérielles pour les E/S et l'adjonction de cartouches d'extension...
Ce qui fait que le BASIC sera coincé au milieu de tout ça. De toute façon , le BASIC et son ergonomie n'est pas, et de loin, le point fort du C64. Alors l'utilisateur se contentera de ce qu'on lui donne et s'en réjouira pour le prix qu'il a payer , hein, ça ira.
S'il veut mieux, il achètera une cartouche de SIMON's BASIC et une carte d'extension. Ou, si cela ne lui va pas, il achètera autre chose, mais il devra se passer de la plus grande bibliothèque de jeux vidéo de son époque.
Ces pages sont volontairement recopiées de la ROM vers la RAM à chaque mise sous-tension (ou SOFT-RESET) afin de faciliter l'extension des fonctionnalités (ex. ajout de mot clef BASIC, de procédure d'E/S, d'IRQ pour des jeux, jeu de caractère internationaux, etc) sans modifier la ROM par la simple installation de code d'extension. Soit par l'utilisateur à partir de programme chargé, soit par l'insertion de cartouches sur le USER-PORT, soit par l'installation de chip sur les embases encore libres de la carte mère (les Commodore suivant le C64 ont multiplié ceux-ci, le Commodore C4+ en a deux, un C128 en a pas moins de quatre). Ces vecteurs correspondent aux principaux sous-programmes des ROM et permette de facilement modifier l'adresse de destination afin d'ajouter des instructions ou modifier à volonté le fonctionnement du système.
Cela ne fait que quelques block de 256 octets, ce n'est pas cela qui explique le bilan curieux de la mémoire disponible à l'allumage.
Toute l'architecture du C64 repose sur le fait qu'il dispose bien de 64 Ko de RAM, c'est à dire de la plage maximale que son micro-processeur peut adresser (le 6502/6510 est un microprocesseur 8bits avec un bus d'adressage de 16 bits).
Le problème est que pour fonctionner le C64 a besoin que son microprocesseur puisse aussi exécuter les codes en ROM et qu'il faut donc insérer les ROM disponibles. Il y en a trois en principe, sans compter les puces ou les cartouches supplémentaire qui elles aussi vont devoir s'insérer dans la plage adressable du 6502/6510.
Il y a donc une astuce, selon les valeurs prises par les bit #0 et #2 de l'octet #0001, le MMU (Memory Managment Unit) va donc leurrer le microprocesseur et insérant ou non dans certaines plages mémoire lesdites ROM (ou Chips ou Cartouches).
C'est simplement une bascule sur une partie des bits d'adressage, les modèles suivant comme le C4+ ou le C16 et surtout le C128 utiliseront à outrance de telles astuce avec des MMU plus rapides qui permettront d'insérer dans l'espace adressable plus de dispositifs, voir comme pour le C128 faire cohabiter dans le système plusieurs micro-processeurs et/ou plusieurs processeurs graphiques ou hardwares de toute sorte.
c'est donc cette gestion très particulière de l'espace adressable qui fait du C64 (et des machines suivantes) un système très différent dans le principe de fonctionnement des prédécesseurs que sont le VIC20 , les CBM et PET antérieurs qui ont un mode d'adressage fixe.
Sur le C64, il y a trois ROM principales, le KERNAL (éditeur plein écran qui gère aussi curseur, horloge temps réel, scrutation du clavier, chef d'orchestra des E/S avec les périphérique), la ROM BASIC et la ROM I/O qui gère le bus interne et les entrées-sorties ainsi que la synchronisation avec la puce VIC-II responsable de l'affichage mais aussi du rafraichissement de la RAM dynamique. C'est nouveau, il n'y a plus de RAM statique c'est ce qui a permis d'offrir un système avec autant de RAM pour un prix aussi serré.
Mais il a y aussi, et c'est important en terme de surface mémoire utilisée, toutes les ROM caractères qui permettent d'avoir un affiche lisible.
A la RAM disponible pour l'utilisateur, il faut aussi retirer l'espace nécessaire à la mémoire vive pour l'affichage (RAM affichage caractère ou bitmap) et surtout la RAM Couleur qui permet l'affichage couleur du C64 (c'est quand même un des points spécifiques important pour cet ordi au gout de console de jeu).
Mais le bilan n'est pas une simple addition/soustraction, le processeur graphique VIC-II ne peut allouer que 16Ko de RAM (ou ROM) contigüe, il y a donc au travers des 64 Ko de la zone adressable du système, que 4 bancs vidéo ce qui contraint fortement les zones contigüe pour les autres systèmes et surtout le BASIC (qui est pour un problème de licence une copie hâtivement adapté du PET de 1977) qui lui aussi ne sait qu'utiliser une zone mémoire d'un seul tenant. En fonction des contrainte, les bancs vidéo sont activé en différents endroit de la plage et les autres zones sont soti déplacée par voie logicielle, soit occulté par le MMU.
C'est surtout ce dernier points qui expliquent l'organisation un peut biscornue de l'agencement mémoire, un compromis entre une utilisation simple du BASIC non adapté à la situation, le bon positionnement des pages vidéo liée à l'adressage limité du VIC-II, les contraintes matérielles pour les E/S et l'adjonction de cartouches d'extension...
Ce qui fait que le BASIC sera coincé au milieu de tout ça. De toute façon , le BASIC et son ergonomie n'est pas, et de loin, le point fort du C64. Alors l'utilisateur se contentera de ce qu'on lui donne et s'en réjouira pour le prix qu'il a payer , hein, ça ira.
S'il veut mieux, il achètera une cartouche de SIMON's BASIC et une carte d'extension. Ou, si cela ne lui va pas, il achètera autre chose, mais il devra se passer de la plus grande bibliothèque de jeux vidéo de son époque.
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Re: c64 par un très bon éléctronicien : bientot
J'avoue avoir été déçu en découvrant le coupable. Il s'agit encore ici d'un grand classique, un habitué des pannes que l'on remplace presque systématiquement lors de maintenances de vieux matériels. J'avais espéré une panne plus subtile ou plus complexe à déceler, bref plus captivante.Patricklaf a écrit : ↑08 oct. 2020 15:35 Je viens de regarder l'épisode le plus récent de la série.
Le sujet est la réparation d'un 1541.
Il emploie une technique de mesure de résistance entre VCC et GND des composants pour cibler l'origine de la panne. Très intéressant !
Je suis sympa, je ne dévoile pas le coupable
Personnellement, je n'ai rien appris. Cette série m’emballe finalement de moins en moins. Et c'est dommage car je trouve Electro-Bidouilleur fort sympathique.
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Re: c64 par un très bon éléctronicien : bientot
on peut toujours lui envoyer une vingtaine de C64 en panne. Ce serait formateur
René
Re: c64 par un très bon éléctronicien : bientot
Fabrice, tu n'as jamais pensé faire ce genre de vidéos, quand tu répares un TI-99, ça pourrait être profitable de tout le monde.
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Re: c64 par un très bon éléctronicien : bientot
C'est une idée mais je suis un grand timide ^_^
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Re: c64 par un très bon éléctronicien : bientot
Héhé! Je plaisantais en fait. Je vais réfléchir à la réalisation de quelques vidéos. Il va falloir dégager du temps, pas simple.